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Les Amazones / Adrienne Mayor
Titre : Les Amazones : quand les femmes étaient les égales des hommes, VIIIe siècle av. J.C-Ier siècle apr. J.C Type de document : texte imprimé Auteurs : Adrienne Mayor (1946-....), Auteur ; Philippe Pignarre (1952-....), Traducteur ; Violaine Sebillotte-Cuchet, Préfacier, etc. Editeur : Paris : la Découverte Année de publication : DL 2017 Importance : 1 vol. (559 p.) Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-9466-4 Prix : 25 EUR Note générale : Bibliogr. p. 537-551 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Amazones Index. décimale : 201.3 Résumé : Fidèle à l'imaginaire mythologique, on a longtemps prêté aux Amazones des coutumes étranges, occultant ainsi l'idée d'Hérodote qu'il existait des tribus où guerrières et guerriers étaient égaux. À l'origine du mythe, des tribus nomades scythes qui considéraient hommes et femmes à égalité sans d'ailleurs se limiter à l'art de la guerre. En mobilisant ces figures féminines, réelles et légendaires, ce livre captivant rétablit les sources historiques d'un mythe galopant sur l'immensité des steppes. Depuis l' Iliade (VIIIe siècle av. J.-C.) jusqu'à Pompée et ses expéditions militaires en Orient (Ier siècle av. J.-C.), en passant par Alexandre le Grand, les mythiques Amazones ont toujours fasciné les Grecs, puis les Romains : des guerrières qui rivalisaient avec les héros grecs par leur courage et leurs prouesses militaires, mais qui ressemblaient aussi aux Barbares - la légende disait qu'elles se coupaient le sein gauche pour tirer à l'arc et qu'elles se débarrassaient de leurs enfants mâles. Mais les Amazones sont-elles seulement un mythe, un fantasme terrifiant inventé par les Grecs et les Romains ' Que peuvent-elles nous apprendre sur la réalité des civilisations avec lesquelles les Grecs étaient en relations commerciales ou guerrières ' Dans ce livre qui fera date, Adrienne Mayor révèle que les Amazones trouvent leur origine dans la réalité historique et met à bas le mythe selon lequel il n'y aurait jamais eu de femmes guerrières. Les découvertes archéologiques faites dans ces immenses étendues où nomadisaient les Scythes - et donc les Amazones décrites par Hérodote - ont permis d'identifier sans doute possible les restes de guerrières mortes au combat. On a longtemps cru qu'un squelette accompagné d'armes était celui d'un homme. Les analyses modernes (en particulier génétiques) montrent que c'est faux dans un nombre considérable de cas ! Il n'y a jamais eu de guerrières se mutilant la poitrine ou tuant leurs fils, mais il y a eu des tribus scythes où les femmes... Les Amazones : quand les femmes étaient les égales des hommes, VIIIe siècle av. J.C-Ier siècle apr. J.C [texte imprimé] / Adrienne Mayor (1946-....), Auteur ; Philippe Pignarre (1952-....), Traducteur ; Violaine Sebillotte-Cuchet, Préfacier, etc. . - Paris : la Découverte, DL 2017 . - 1 vol. (559 p.) : ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7071-9466-4 : 25 EUR
Bibliogr. p. 537-551
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Amazones Index. décimale : 201.3 Résumé : Fidèle à l'imaginaire mythologique, on a longtemps prêté aux Amazones des coutumes étranges, occultant ainsi l'idée d'Hérodote qu'il existait des tribus où guerrières et guerriers étaient égaux. À l'origine du mythe, des tribus nomades scythes qui considéraient hommes et femmes à égalité sans d'ailleurs se limiter à l'art de la guerre. En mobilisant ces figures féminines, réelles et légendaires, ce livre captivant rétablit les sources historiques d'un mythe galopant sur l'immensité des steppes. Depuis l' Iliade (VIIIe siècle av. J.-C.) jusqu'à Pompée et ses expéditions militaires en Orient (Ier siècle av. J.-C.), en passant par Alexandre le Grand, les mythiques Amazones ont toujours fasciné les Grecs, puis les Romains : des guerrières qui rivalisaient avec les héros grecs par leur courage et leurs prouesses militaires, mais qui ressemblaient aussi aux Barbares - la légende disait qu'elles se coupaient le sein gauche pour tirer à l'arc et qu'elles se débarrassaient de leurs enfants mâles. Mais les Amazones sont-elles seulement un mythe, un fantasme terrifiant inventé par les Grecs et les Romains ' Que peuvent-elles nous apprendre sur la réalité des civilisations avec lesquelles les Grecs étaient en relations commerciales ou guerrières ' Dans ce livre qui fera date, Adrienne Mayor révèle que les Amazones trouvent leur origine dans la réalité historique et met à bas le mythe selon lequel il n'y aurait jamais eu de femmes guerrières. Les découvertes archéologiques faites dans ces immenses étendues où nomadisaient les Scythes - et donc les Amazones décrites par Hérodote - ont permis d'identifier sans doute possible les restes de guerrières mortes au combat. On a longtemps cru qu'un squelette accompagné d'armes était celui d'un homme. Les analyses modernes (en particulier génétiques) montrent que c'est faux dans un nombre considérable de cas ! Il n'y a jamais eu de guerrières se mutilant la poitrine ou tuant leurs fils, mais il y a eu des tribus scythes où les femmes... Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 499 938 MAY Livre CDI de Baganda Documentaires Disponible Oubangui-Chari, le pays qui n'existait pas / Jean-Pierre Tuquoi
Titre : Oubangui-Chari, le pays qui n'existait pas Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Tuquoi, Auteur Editeur : Paris : la Découverte Année de publication : DL 2017 Collection : Cahiers libres Importance : 1 vol. (286 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-8893-9 Prix : 21 EUR Note générale : Bibliogr. p. 253-283 Langues : Français (fre) Index. décimale : 967.4 Résumé : De l'Oubangui-Chari, du nom choisi par le colonisateur français en 1905, à la Centrafrique actuelle, Jean-Pierre Tuquoi nous raconte l'histoire inouïe d'un pays inventé. Devenu indépendant en 1960, le territoire passera, au fur et à mesure des coups d'état, par diverses mains, dont celles de Bokassa, l'influence de l'ancien colon restant omniprésente et l'appétit des concessions minières insatiable. Porté par une documentation riche et variée, le récit est saisissant de justesse et d'émotion. Fin 2016, les militaires français plient bagages. Trois ans plus tôt, dans le cadre de l'opération Sangaris, ils ont débarqué à Bangui, la capitale d'un pays oublié, le Centrafrique, pour lui éviter de connaître " un scénario à la rwandaise ". C'était la septième intervention française depuis l'indépendance dans ce pays aux allures de fantôme où sept habitants sur dix vivent dans une pauvreté extrême et où l'espérance de vie a reculé de dix ans. Pays fantôme, le Centrafrique - baptisé Oubangui-Chari par le colonisateur français - l'a peut-être toujours été. Certes, il a une capitale et un nom - il en a changé à six reprises. Il possède quelques kilomètres de routes goudronnées, une langue nationale et des ambassades. Un temps, dans les années 1970, l'empereur Bokassa, un autocrate délirant et sanguinaire, lui a conféré une triste notoriété. Mais que cache le décor ' L'Oubangui-Chari est une invention française. À la fin du XIXe siècle, une poignée d'explorateurs et d'aventuriers - des militaires jeunes et exaltés, des missionnaires sans états d'âme, l'Évangile dans une main, le drapeau français dans l'autre - se sont élancés à la conquête du " dernier blanc de l'Afrique ". De ce vaste et lointain territoire ont hérité des sociétés concessionnaires qui se sont payées sur la bête. Mais la bête n'était pas grasse et lorsque, au début des années 1960, " la Cendrillon de l'Empire " s'est vu octroyer l'indépendance, le pays avait tout pour se déliter, sous l'oeil de l'ancienne... Oubangui-Chari, le pays qui n'existait pas [texte imprimé] / Jean-Pierre Tuquoi, Auteur . - Paris : la Découverte, DL 2017 . - 1 vol. (286 p.) : ill. ; 22 cm. - (Cahiers libres) .
ISBN : 978-2-7071-8893-9 : 21 EUR
Bibliogr. p. 253-283
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 967.4 Résumé : De l'Oubangui-Chari, du nom choisi par le colonisateur français en 1905, à la Centrafrique actuelle, Jean-Pierre Tuquoi nous raconte l'histoire inouïe d'un pays inventé. Devenu indépendant en 1960, le territoire passera, au fur et à mesure des coups d'état, par diverses mains, dont celles de Bokassa, l'influence de l'ancien colon restant omniprésente et l'appétit des concessions minières insatiable. Porté par une documentation riche et variée, le récit est saisissant de justesse et d'émotion. Fin 2016, les militaires français plient bagages. Trois ans plus tôt, dans le cadre de l'opération Sangaris, ils ont débarqué à Bangui, la capitale d'un pays oublié, le Centrafrique, pour lui éviter de connaître " un scénario à la rwandaise ". C'était la septième intervention française depuis l'indépendance dans ce pays aux allures de fantôme où sept habitants sur dix vivent dans une pauvreté extrême et où l'espérance de vie a reculé de dix ans. Pays fantôme, le Centrafrique - baptisé Oubangui-Chari par le colonisateur français - l'a peut-être toujours été. Certes, il a une capitale et un nom - il en a changé à six reprises. Il possède quelques kilomètres de routes goudronnées, une langue nationale et des ambassades. Un temps, dans les années 1970, l'empereur Bokassa, un autocrate délirant et sanguinaire, lui a conféré une triste notoriété. Mais que cache le décor ' L'Oubangui-Chari est une invention française. À la fin du XIXe siècle, une poignée d'explorateurs et d'aventuriers - des militaires jeunes et exaltés, des missionnaires sans états d'âme, l'Évangile dans une main, le drapeau français dans l'autre - se sont élancés à la conquête du " dernier blanc de l'Afrique ". De ce vaste et lointain territoire ont hérité des sociétés concessionnaires qui se sont payées sur la bête. Mais la bête n'était pas grasse et lorsque, au début des années 1960, " la Cendrillon de l'Empire " s'est vu octroyer l'indépendance, le pays avait tout pour se déliter, sous l'oeil de l'ancienne... Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 506 967.4 TUQ Livre CDI de Baganda Documentaires Disponible